Anne-Marie Vincent-Girod (Président d’Oasis d’Amour) : « Ici on reçoit tout le monde sans arrière-pensée, bénévoles et bénéficiaires. Notre projet n’est pas de convertir les gens, mais de partager nos valeurs de respect, d’entraide et de solidarité », souligne-t-elle lorsqu’on évoque les rumeurs de prosélytisme religieux dénoncé voici quelques années. Elle reconnaît s’être « un jour, imprudemment, définie comme chrétienne. Cela a été mal compris parce que je n’en parle jamais de ma religion ! » Elle affirme vouloir « renforcer encore l’autonomie de l’association ».
Source : Le Progrès